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À propos de moi

Si j’étais une cause, je serais la justice, celle qu’on défend même lorsqu’elle chancelle.

 

Si j’étais un texte, je serais un plaidoyer en faveur d’un droit universel à la santé. Un plaidoyer écrit avec passion et conviction.

 

Si j’étais une règle de droit, je serais celle qui offre une voix à ceux que le monde préfère taire.

Salut !

 

Je m’appelle Christaine Mboué Mballa, auto-entrepreneure à mes heures perdues, je suis avant tout une étudiante passionnée par la gouvernance mondiale et les dynamiques juridiques qui façonnent nos sociétés. En effet, au cours de mon cursus universitaire, j'ai eu la chance d'effectuer un master 1 de droit international et européen à l'Université de Nice Côte d'Azur, puis, un master 1 de droit public auprès de l'université de Lille. Ce sont d'excellentes formations qui ont renforcé mon intérêt pour l'ouverture et la diversité des systèmes juridiques. Aujourd'hui, je poursuis un master 2 en droit comparé, spécialité Droits africains à L’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.  Comme beaucoup d'étudiants, j’ai choisi la voie du droit, par refus de l’injustice, par besoin de comprendre les choses et d’agir à mon échelle, pour réparer (et aussi, parce que j’ai longuement pensé aux débouchés et je me suis dit, qu'il y’aurait peut-être de la place pour moi). Avec le recul, je ne regrette rien : je rentre en Master 2 après un parcours marqué d’épreuves et de découvertes, d’apprentissage et surtout, avec une grande fierté et une confiance inébranlable dans la voie que j'ai choisie. 

 

Mon histoire, je l’écris encore, mais, il faut l'avouer : elle n’a rien de linéaire, bien au contraire. Elle a été extrêmement exigeante, souvent imprévisible, mais profondément formatrice.

 

Un jour, alors que mon groupe et moi présentions un travail de recherche sur le sauvetage en mer et la protection due aux demandeurs d’asile -un sujet particulièrement actuel et fascinant, car il met en lumière la tension entre la souveraineté des États et le respect des droits de l’Homme- un professeur nous a demandé pourquoi nous n’avions pas simplement osé affirmer que certains États violaient le droit en vigueur.

 

J’ai réfléchi un instant, puis j’ai répondu que c’était effectivement la conclusion à laquelle nous étions parvenus, mais que le terme nous semblait bien trop fort, trop accusateur pour être employé à l’encontre d’États. Nous n’étions que des étudiants (certes en master) mais nous ne nous sentions pas légitimes pour utiliser de tels mots. Il m’a alors regardée, et a prononcé des paroles que je n’oublierai jamais : “Justement. Parce que vous êtes futurs juristes, vous devez apprendre à qualifier les faits. Trop souvent, les gens racontent n’importe quoi dans les médias, sur les réseaux sociaux. Vous, vous avez le devoir de dire les choses, car ce n’est pas simplement votre opinion : ce sont les faits. Et même si vous émettiez votre opinion, il vous reviendrait l’immense responsabilité de la défendre, de manière argumentée et étayée. Ne soyez pas de ceux qui se taisent et acceptent l’inacceptable par peur d’offusquer”.

 

Ce jour-là, j’ai compris que je ne pouvais plus me contenter d’observer. Dire le droit, c’était aussi dire la vérité. Et j’ai compris que je devais apprendre à mettre des mots sur les maux qui frappent notre société et la paralysent.

 

C’est de ce déclic qu’est né ce blog : il est à la fois l’externalisation et le prolongement de mes recherches, de mes engagements, de mes frustrations, de mes lectures, de mes expériences et de mes apprentissages. Parce que j'apprends encore et je ne cesserai jamais de le faire. Sur ce blog, je partage ainsi, ce en quoi je crois profondément.

 

Je crois que le droit n’appartient pas qu’aux tribunaux. Je crois qu’il peut (et doit) vivre aussi ailleurs. Dans les milieux universitaires, dans les livres, dans la rue, dans nos conversations et intéractions du quotidien, dans nos indignations, et même sur un blog juridique, tenu par une étudiante en droit, qui a décidé de lui prêter sa voix et de s’appliquer à faire ses devoirs.

Pour me contacter :

ldroitfaitsesdevoirs@gmail.com

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 À ceux qui ont défendu la justice, partout et toujours.

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"Être libre, ce n'est pas seulement se débarrasser de ses chaînes ; c'est vivre d'une façon qui respecte et renforce la liberté des autres".

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Je crois que le droit n’appartient pas qu’aux tribunaux. Je crois qu’il peut (et doit) vivre aussi ailleurs. Dans les milieux universitaires, dans les livres, dans la rue, dans nos conversations et interactions du quotidien, dans nos indignations, et même sur un blog juridique, tenu par une étudiante en droit, qui a décidé de lui prêter sa voix et de s’appliquer à faire ses devoirs.​

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